Revue de presse

Le monde, Maxi, 30 millions d’amis, Télérama, Femme Actuelle, Cheval Magazine sont venus à la Michaudière et ont écrit :

« On ne voit plus de percherons… sauf dans cette ferme du Bocage Normand, près de Bagnoles de l’Orne, La Michaudière, devenue La Ferme du Cheval de Trait. Depuis 1984, cet ensemble de bâtiments à colombages a été restauré et on y ajoute même des édifices anciens sauvés de la destruction et remontés sur place. Avec une vingtaine de chevaux (percherons, cobs normands et bretons), un spectacle est organisé tous les jours, à 16 h 30 : poste hongroise, voltige, attelages et course de chars. »

Le Monde

Percherons de concours

« Dans les champs, les tracteurs ont remplacé les chevaux de trait, et ces fidèles compagnons ont peu à peu disparu de nos campagnes. M. Dinard a souhaité réhabiliter cette race de bosseurs ! Dans sa ferme du bocage normand, la Michaudière, il propose un spectacle étonnant avec plus de 25 percherons. Pendant plus d’une heure, vous pourrez les applaudir dans des disciplines comme le dressage ou l’attelage ; le clou de cette parade est une course de chars aussi extraordinaire que celle de… Ben Hur ! »

Maxi

Une ferme pas comme les autres

« […] Un spectacle hors du commun avec une vingtaine de percherons, cobs normands et bretons, dans des exercices alliant à la fois grâce et légèreté, puissance et vitesse. Son but : redonner ses lettres de noblesse au cheval de trait, qui, depuis la mécanisation de l’agriculture, est de plus en plus menacé. Mais pas question pour Jean et son équipe, tous des passionnés, de jouer la carte de la nostalgie en répétant les gestes d’autrefois […] Il faut au contraire trouver de nouvelles voies pour le cheval de trait, de façon à maintenir les effectifs au-dessus du niveau d’extinction et le sortir du contexte agricole […] alors, à l’occasion des derniers beaux-jours, pourquoi n’iriez-vous pas, vous aussi, rendre une petite visite à la Ferme du Cheval de Trait ? »

30 millions d’amis

Galop, du trait à l’attrait

« Des petits bretons enrobés, des grands cobs tout en muscles, des percherons costauds et râblés : les chevaux de trait, à la ferme de la Michaudière, dans l’Orne, cachent bien leur jeu. L’image d’Epinal les a figé, paturon enfoncé dans une terre grasse, tirant placidement le soc d’une charrue. Mais passez-leur un collier à l’épaule, attelez-les… et les paisibles animaux démontrent avec une puissance tranquille qu’ils sont aussi de sacrés athlètes.[…] Sur leur passage, le sol frissonne du martèlement de leurs sabots. Leur robe gris pommelé ou baie luit sous l’effort, les muscles saillants roulent sous leur peau. Un vieux paysan – jadis propriétaire comblé d’une jument lourde – ébaubi, la larme à l’oeil, devant les galops diaboliques sur une étroite butte. […] L’heure est à la nostalgie, aux souvenirs, et au dernier verre de cidre… »

Télérama

Sabots : la parade des percherons

« Jusqu’au années 1950, chaque région avait son type de cheval. Ils étaient trois millions » , explique Jean Dinard, qui depuis dix ans, dirige une ferme-musée. Là, une vingtaine de chevaux percherons, bretons ou cobs participent à des courses de char et d’attelage, font des exercices de voltige devant un public ravi, qui a découvert auparavant la ferme normande « à l’ancienne » ou qui s’est promené dans la campagne au rythme lent d’une roulotte. Un beau programme, non ? »

Femme actuelle

Le retour du cheval de trait

« Á la ferme du cheval de trait, Jean Dinard a choisi de prouver que les chevaux de trait ne sont pas seulement des chevaux de travail mais peuvent devenir d’attrayants chevaux de loisirs[…] Jean tente donc d’élargir l’éventail des qualités du cheval de trait devant un public de jeunes et de moins jeunes stupéfaits de découvrir que ces chevaux aux proportions impressionnantes sont capables de trotter, de galoper, et même d’exécuter des figures de dressage avec la même maniabilité que des chevaux « normaux » […] Difficile d’imaginer, sans l’avoir vue, l’incroyable force déployée par ces chevaux lourds qui, lancés au grand galop, soulèvent des nuages de poussière. […] Il est nécessaire de soutenir une initiative comme celle de Jean Dinard, afin que d’autres encore se développent à travers la France. »

Cheval magazine

Du cirque à la voltige